L’île de Florès, située à l’est de l’Indonésie, abrite les rares forêts tropicales sèches encore intactes du pays, occupant seulement 2% de la surface mondiale. Ces écosystèmes, vitaux mais peu étudiés, sont en péril. L’île est éloignée des grands centres économiques du pays, ce qui rend ses habitants fortement dépendants de la forêt pour leur survie. Toutefois, l’accélération de la mondialisation menace d’augmenter la pression sur ces forêts, risquant des pertes irréversibles.
Chez Cœur de Forêt, nous nous attelons à un défi majeur : contrer la déforestation en Indonésie, notamment sur l’île de Florès.
Notre intervention respecte les critères mondiaux des solutions fondées sur la Nature développés par l’UICN, et répondent à plusieurs objectifs de développement durables : entre préservation de la biodiversité et développement humain.
Les sources d’eau naturelles et les étangs sont des écosystèmes vitaux dont dépendent les populations pour leur eau potable, l’irrigation et l’élevage. Pourtant, la sédimentation menace leur existence et la biodiversité qu’elles abritent. Pour y remédier, nous lançons une campagne de reboisement et de régénération de 25 zones humides. Aidez-nous à restaurer ces milieux pour assurer un accès durable à l’eau, protéger la faune et la flore, et améliorer les conditions de vie des populations.
L’île de Florès est l’une des dernières zones mondiales à abriter des forêts tropicales sèches. Ces écosystèmes uniques sont menacés par la chasse intensive, les feux et des coupes illégales. Avec l’implication des autorités et des villageois, nous avons déjà lancé la préservation de deux forêts communales. Des campagnes de sensibilisation et des forums permettront d’impliquer les populations, en valorisant notamment la protection du gibier, essentiel à leur mode de vie. Nous reboisons également autour de ces forêts afin de créer des “zones tampons” qui empêchent leur déforestation et répondent aux besoins des populations.
À Wolomeze, la forêt est un lieu sacré qui a donné naissance à une multitude de savoirs ancestraux. Face à la mondialisation, les populations perdent cette identité culturelle exclusive telle que l’usage des plantes médicinales. Pour y remédier, nous menons un programme de sensibilisation qui implique les anciens et les écoles de la zone. Les élèves exploreront la forêt avec leurs aînés pour apprendre à reconnaître et utiliser les plantes essentielles. En parallèle, une pépinière communautaire sera créée afin d’intégrer ces arbres précieux autour des habitations. Aidez-nous à faire revivre ce patrimoine entre nature et culture qui préservera les écosystèmes locaux.
En Indonésie, nous accompagnons les petits producteurs vers une agriculture durable qui protège les forêts tout en assurant des revenus équitables. La culture de la vanille est devenue notre alliée locale face à la déforestation. Cette liane de sous-bois pousse naturellement en symbiose avec les arbres, offrant une production rentable sans détruire l’environnement. Grâce à la valorisation de cette approche agroforestière, les producteurs deviennent les premiers gardiens des forêts, tout en récoltant une vanille d’exception. Soutenez ces forêts vivantes qui garantissent une économie durable.
“Depuis 2016, la Fondation Audemars Piguet soutient Cœur de Forêt dans son modèle de création de cercle vertueux et durable sur l’Ile de Florès. L’objectif est non seulement de préserver la forêt de la Montagne sacrée Wolomezé et de ses alentours, mais aussi de mettre en place une filière de produits forestiers non-ligneux permettant de générer des revenus pour et par les communautés locales.”
« Soutenir Cœur de Forêt, c’est bien plus qu’un simple geste : c’est une manière d’ancrer mes convictions dans le vivant.
En parrainant une ruche, je choisis de veiller sur celles qui portent la vie sur leurs ailes. Les abeilles pollinisent nos arbres et nos fleurs sauvages, nourrissant les insectes, qui nourrissent à leur tour les oiseaux, les chauves-souris, les mammifères… C’est un élan de vie, un équilibre fragile, où tout est lié.
Ce que j’aime dans cette démarche, c’est qu’elle tisse un lien vivant — entre l’apiculteur, la communauté, et l’endroit où la ruche prend vie. Elle donne du sens, et offre même un certificat que l’on peut personnaliser ou offrir, comme une trace concrète, un acte d’engagement envers la nature.
C’est un petit geste, oui. Mais porteur d’un grand souffle. Celui de la vie qui continue, tant que les abeilles dansent encore dans l’air. »
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« Soutenir Cœur de Forêt, c’est bien plus qu’un simple geste : c’est une manière d’ancrer mes convictions dans le vivant.
En parrainant une ruche, je choisis de veiller sur celles qui portent la vie sur leurs ailes. Les abeilles pollinisent nos arbres et nos fleurs sauvages, nourrissant les insectes, qui nourrissent à leur tour les oiseaux, les chauves-souris, les mammifères… C’est un élan de vie, un équilibre fragile, où tout est lié.
Ce que j’aime dans cette démarche, c’est qu’elle tisse un lien vivant — entre l’apiculteur, la communauté, et l’endroit où la ruche prend vie. Elle donne du sens, et offre même un certificat que l’on peut personnaliser ou offrir, comme une trace concrète, un acte d’engagement envers la nature.
C’est un petit geste, oui. Mais porteur d’un grand souffle. Celui de la vie qui continue, tant que les abeilles dansent encore dans l’air. »